En création : « Les frondeuses »

Pitch :

L’action se situe été 1897… Maria Pognon grande figure du féminisme (Présidente du congrès Féministe International de 1896) a convié à un déjeuner différentes figures et sensibilités du féminisme de cette fin du 19e siècle pour aider Marguerite Durand, journaliste, dans le lancement et l’élaboration d’un journal  qui paraitra en décembre 1897…

Pièce à 7 personnages, de et avec Blandine Métayer.

Cela n’ira pas sans heurts d’autant que le personnage de la cuisinière de Maria, Léontine, pourra à certains moments faire vaciller les certitudes de ces « Féministes Bourgeoises » comme on se plaisait à les appeler…

Bien que s’inspirant avec une certaine liberté de personnages ayant réellement existés (à part celui de Léontine crée de toute pièce) la pièce, totalement inventée par l’autrice, est écrite à la manière de Feydeau et mêle avec légèreté dialogues de pure fiction, situations de comédie et cependant quelques phrases historiques (Vrais morceaux de discours, extraits de presse etc…)

Quelques répliques …

Maria : « Il est certain que l’émancipation des femmes passera par leur éducation … L’éducation c’est la clef de tout ! »

Léon : « Ma chère amie je ne voudrais pas être médisant mais ce déjeuner part un peu en eau de boudin »

Léontine : « Le fait est qu’une femme ça vaut pas tripette ! »

Paul : « La sexualité ne doit plus demeurer une jouissance uniquement masculine ! »

Production Changement de décor